le monde de frevall

Tant pis, tant pis pour les mensonges lénifiants, pour le fourvoiement, pour le réagencement, tant pis et tant mieux si cela contribue à r...

J’aime particulièrement les riens qui font cette ville, quelque chose en deçà de l’anecdote, la simple réalité du métro par exemple, sa lent...

Avec J., j’ai appris un certain nombre de raffinements pratiques, tel que le … vide-poche ! Ce genre d’objet de rien, catégorisé de la façon...

J’ai vu … j’ai vu des choses bien trop précieuses pour les livrer ici. Je vais les garder dans le secret momentané des chroniques berlinoise...

Une phalène frappe le plafond, cherche sa place ; j’écoute l’épaisseur de la nuit. J’aime la posture de « l’homme de lettres », une façon ...

Samedi, 14 juillet Il est question de manières … et d’habitude : je n’arrive pas à me glisser dans la peau d’un homme de lettres en vacances...

De retour à Berlin … de retour et non « à nouveau ». Plane le souvenir de mon précédent séjour estival, j’étais en pleine rédaction de La Di...

Le ciel n’est qu’acier et vapeurs romantiques, il pleut sur la ville une fatigue si ancienne, à la fois confortable et aigre … Fatigué comme...

Ne pas se laisser déborder par ... le contingent, les fausses urgences, les fausses priorités quoiqu'il puisse en coûter à l'homme d...

Aujourd'hui encore, j'ai donné la Communion, à la messe : présenter l'hostie à mes coreligionnaires, "Le corps du Christ...

J'ai observé le jour glisser depuis le balcon, le vaste panorama, la splendeur toujours égale et renouvelée du lac, le Jura, le ciel, im...

Une lumière méditerranéenne, ondulation et le rai fulgurant du reflet solaire sur l’extrême rebord du cadre de la fenêtre : invitation au vo...

Ne croyez jamais un auteur, ne vous attachez pas aux ingrédients de sa cuisine : il n'y a que le geste qui compte, le mouvement ample e...

J'avais oublié mon credo : "Nous sommes tous des étoiles, nous sommes tous des empereurs". J'avais oublié jusqu'à la ...

... je n'ai pas eu le courage de m'asseoir au clavier, travailler de suite en ligne à ce journal ... Je m'y sens salement épié e...

Hier, en fin de journée, je regardais un rayon pâle de soleil traverser le séjour en biais, éclairer le tapis et se replier sur la coque d...

L'oeil de Moscou a dû en prendre plein les mirettes, la peste de ces gens et de tous les pense-menus contre lesquels il faut mener batai...

Il pleut, une jolie pluie nocturne qui lustre les trottoirs et donne envie d'allumer une cigarette, commencer un roman, texte banal de...

Les pseudo-secrets, les coups de théâtre ne sont pas mon fort. Arrive un temps quand les choses se font, qu'elles sont à point. C'es...

C'est bon ! Les suppôts moscovites (rapport l'oeil de Moscou), les pauvrets de C. (village où vécut Mme de S.) et mes contempteurs :...